• Admirez les belles dents en or !

     Toute la famille veut poser !

    La récolte de champignons semble bonne, au marché mais aussi au bord des routes, les familles vendent de beaux et gros bolets. Lors du passage dans les Carpates, de nombreuses familles parcouraient les forêts à la recherche de ces fameux champignons.


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  • Premier arrêt du jour : Dragomiresti.

    Nouvel arrêt dans le village suivant où se déroule une célébration devant l'église.

    Arrêt dans un autre village avec un bel ensemble et visite avec un petit guide.


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  • sapanta roumanie cimetiere joyeux

    La commune, constituée du seul village de Săpânța, est située dans le nord du județ à la frontière avec l'Ukraine, sur la rive gauche de la Tisa, avec les Monts Igniș (Munții Ignișului) au sud.

    Le Cimetière joyeux de Săpânța (en roumain : Cimitirul Vesel din Săpânța) est un cimetière ayant la particularité d'avoir ses tombes ornées de stèles funéraires en bois, peintes en couleurs vives, avec une gravure de type naïf représentant une scène de la vie, une activité ou les causes du décès de la personne inhumée, accompagnés d'un poème, parfois nostalgique, parfois humoristique, dédié à la mémoire du mort.

    Fondateur du cimetière joyeux, Stan Ion Pătraş  (1908-1977) :

    Quand j'étais petit, on m'a appelé Stan Ion Pătraş.

    A cette lecture, braves gens,

    qui sont les paroles de mon cœur que je vous confie,
    "Chaque jour de mon existence, j'ai voulu apporter de l'aide à celui qui le demandait dans la mesure de mes moyens, sans vouloir un seul instant faire du mal à quiconque,

    Ah, ce "Monde de Pauvres",

    qui il y est très difficile d'y vivre...

    Sur cette croix que j'ai commandée pour moi-même,
    à deux de mes élèves qui l'on conçue à mon goût,
    Turda Toader et Stan Vasile,
    Que Dieu les protège.

    Dès l'âge de 14 ans, j'ai dû gagner ma vie
    en coupant du bois dans la forêt avec ma hache et mon "tapin"*
    C'était un travail épuisant.
    Mon père est parti à la guerre et il n'en est point revenu.
    Nous étions trois petits enfants seuls contre tous les soucis et les méprises de la vie.

    Ah, comme j'aurais aimé vivre encore plus, pour prendre le temps d'accomplir mes rêves...

    Tout a commencé en 1935 quand un artisan local, Stan Ioan Pătraş (1908-1977), a sculpté une première épitaphe sur une croix de chêne décorée dans des couleurs vives. 

    Plusieurs centaines de stèles existent à présent : de forme rectangulaire et richement ciselées de motifs géométriques, floraux ou astronomiques, elles sont couronnées d'une croix à deux ou trois banches, surmontées d'un petit toit. 

    Sur un fond a dominante bleu - couleur traditionnelle des chrétiens orientaux - des scènes de la vie et de la fin du défunt sont figurées, surmontant généralement une poésie allégorique, souvent humoristique, évoquant son caractère.

    Les motifs de certaines stèles décrivent les circonstances accidentelles du décès ou représentent des scènes collectives de la vie du village. C'est notamment le cas depuis que l'élève de Pătraș, Dumitru Pop, lui a succédé après sa mort en 1977.

    Le « Cimetière Joyeux » qui compte plus de 800 stèles au début du xxie siècle est devenu l'une des grandes attractions touristiques de la région .

    Le seul cycliste de Sapanta.

    ici, comme dans tous les cimetières visités, tous les jours de la semaine, les femmes sont au travail. Un coup de balai, désherbage, plantation...

    L'enfant renversé

    L'instit

    Ici, c'est moi qui repose
    Pop Grigore est mon nom
    J'ai aimé le tracteur
    Et me consolais avec l'alcool
    Triste, j'ai toujours vécu
    Car mon père m'a quitté petit
    Ce fut peut-être mon destin
    J'ai vite quitté la vie
    La mort me prit jeune,
    A 33 ans.

    Une pensée pour le bûcheron

    Les activités agricoles sont bien sûr les plus représentées : travaux des champs, avec le bétail et les outils. Le travail du tissu avec le tisserand, la fileuse, la couturière vient juste après. Le travail du bois est bien présent avec le bûcheron, le débardeur, le menuisier, l'ébéniste, le vendeur de meubles. La vie de famille avec les enfants, le mari, la cuisine, les repas vient ensuite. Parmi les métiers, on peut citer l'infirmière, l'institutrice,le soldat, le mécanicien, l’apothicaire. Les loisirs comme la musique sont plus rares.

    Certaines croix ont deux faces comme ici, d'un côté la mari, de l'autre la femme mais cela reste l'exception.


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  • En route vers Desesti, quelques scènes de fauchage.

    A la main avec faux, râteaux et chevaux. Cette tâche répétitive donne une idée de la taille du cheptel et de l'exploitation agricole, réduite. Le paysan possède de petites parcelles et vit en auto-suffisance.

    Ces gestes mille fois répétés

     

    En 1910, la commune comptait 2 927 Roumains (86,8 % de la population), 68 Hongrois (2 %) et 345 Allemands (10,2 %).

    En 1930, les autorités recensaient 2 898 Roumains (91,6 %) ainsi qu'une communauté juive de 249 personnes (7,9 %) qui fut exterminée par les Nazis durant la Seconde Guerre mondiale.

    En 2002, la commune comptait 2 619 Roumains (99,5 %).

    Desești, église en bois "La Pieuse Parascève" (Cuvioasa Paraschina) de 1770, inscrite avec sept autres églises du județ sur la liste du Patrimoine mondial par l'UNESCO en 1999.

    Cette église est d'une grande harmonie due à la qualité de sa construction, respectueuse des critères classiques des églises en bois du Maramureș (toit double et tour clocher d'influence gothique notamment). 

    L'église possède aussi un ensemble de peintures de tradition post-byzantine de 1780 et un mobilier intérieur remarquable.


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  • cimetiere joyeux sapanta roumanie

    Une pluie fine tombe sur Bucarest, des bouchons interminables dans les rues de la capitale; le démarrage de ce circuit de 1 900 km s'annonce peu réjouissant, pourtant... 

    prejmer transylvanie

    Le lendemain mercredi, le ciel s'éclaircit mais la route vers Brasov est encore assez encombrée. Première halte à Prejmer, un village fortifié en Transylvanie. Puis ce sera Bunesti et Viscrii, deux autres villages saxons. Nuit à Sighisoara, belle cité médiévale.
    Jeudi : circuit des trésors médiévaux jusqu'à Sibiu avec un premier arrêt à Biertan.
    Et retour sur Sighisoara pour une seconde nuit dans la ville où naquit le prince de Valachie, Vlas Draculea à l'origine du personnage légendaire. 

    transylvanie

    En Transylvanie (centre et nord-ouest du pays) on trouve de nombreuses carrioles à cheval ou à vaches, des meules de foin, des villages rues avec des maisons en bois colorées, un décor atypique.

    Après le centre du pays, direction le nord, vers Sighetu Marmatiei. La distance n'est pas énorme mais il n'y a ni autoroutes ni voies rapides dans le pays. Il faudra donc une journée pour parvenir à la frontière ukrainienne, en pays Maramures.
    Le lendemain départ pour le cimetière joyeux de Sapanta....puis visite
    des églises en bois. Desesti...

    Avant de partir vers l'est, un petit tour au marché de la ville.  Puis 5 heures de route jusqu'à Gura Humorului. Et on enchaîne aussitôt avec le monastère de Voronet et d'Humor.

    Le lendemain matin, deux monastères peints (Moldovita, Sucevita) au programme avant de revenir sur nos pas.

    Voici le programme.

     


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  • Après avoir assisté à la cérémonie des 70 ans du Débarquement, à Ouistreham, les Malgré-Nous se sont recueillis samedi sur la stèle de l’un des leurs : l’« Alsacien inconnu » de Breteuil-sur-Iton (Eure).

    Sur la tombe d'un Malgré-nous inconnu

     

    « Le climat breton a débordé chez nous ! » , sourit Philippe Tisserant, secrétaire d’une association locale d’anciens combattants. La veille, vendredi 6 juin, il faisait grand beau sur la plage d’Ouistreham, où était organisée la cérémonie internationale du 70e anniversaire du Débarquement. Mais ce samedi matin, à Breteuil-sur-Iton (Eure), 130 kilomètres à l’intérieur des côtes, au cœur des terres normandes, il fait frais et humide. Ce temps correspond au moment. Nous sommes dans le cimetière communal et le ciel pleure un mort parmi tant d’autres : un Malgré-Nous anonyme qui est en train de devenir le « soldat inconnu » de l’incorporation de force, le symbole à la fois concret et abstrait de toutes ses victimes.

    « J’aurais pu être tué »

    Sa tombe est adossée à une haie. Sur la stèle de pierre s’efface lentement cette inscription : « Ici repose un Alsacien inconnu fusillé par les Allemands en juin 1944 ». Philippe Tisserant et ses amis anciens combattants du secteur, tels Pierre Osty et Claude Lemonchois, se sont promis de redonner un nom, et par ce fait l’hommage qu’il mérite, à ce sans doute jeune soldat, sans doute fusillé parce qu’il a tenté de déserter l’armée allemande dans les soubresauts qui ont suivi le 6 juin 44 (notre édition du 6 avril 2013).

    Leurs recherches ont été relayées en Alsace par Gérard Michel, président de l’association des Orphelins de pères Malgré-Nous d’Alsace-Moselle (OPMNAM), qui a alerté la presse. C’est cette même OPMNAM qui a organisé le déplacement de quatre Malgré-Nous alsaciens aux cérémonies d’Ouistreham (notre édition de samedi).

    Autour de cette tombe, ce samedi 7 juin, vers 11 h, un attroupement d’une quinzaine de personnes est en train de se former. Sont là les anciens combattants normands, des habitants du village, des journalistes… Sont là encore des représentants de l’association Solidarité normande aux incorporés de force alsaciens-mosellans (Snifam), en particulier Jean Bézard, son fondateur et animateur, et Serge Vuillemey, lieutenant-colonel de gendarmerie à la retraite ; l’action de ce duo a été décisive pour que les Malgré-Nous soient invités à Ouistreham, et ainsi reconnus, au même titre que tous les autres vétérans. Sont là enfin les Alsaciens… Trois des quatre Malgré-Nous sont encore de ce déplacement : Maurice Stotz, René Gall (88 ans chacun) et Armand Klein (90 ans).

    « Vous leur rendez l’honneur »

    Peu importent les kilomètres et la fatigue supplémentaires : il leur fallait venir ici en pèlerinage, saluer ce camarade dont ils ne savent rien, mais qui leur ressemble tant. « J’aurais pu être tué, moi aussi, quatre ou cinq fois ! , assure le Mulhousien Maurice Stotz, qui a réussi sa désertion de la Waffen SS près de Rouen, dans les semaines qui ont suivi le Débarquement (voir leurs parcours ci-dessous). Mais j’ai toujours pu me sauver de mes malheurs grâce à une chance inouïe… »

    Le soleil chasse la pluie quand débute le temps de recueillement. Des fleurs sont déposées sur la tombe par les Alsaciens puis les Normands, unis dans la même fraternité qui avait poussé, il y a 70 ans, malgré tous les risques, les seconds à aider les premiers. « Comment ne pas souligner la grandeur d’âme des gens de votre région ? » , demande Gérard Michel, dans un discours souvent interrompu par l’émotion. Ce fils de Malgré-Nous s’adresse particulièrement à Jean Bézard et à sa compagne, Nicole : « Vous avez révélé la vérité sur nos pères, vous leur rendez l’honneur… »

    Les recherches menées par la Snifam ne cessent de montrer à quel point les Normands ont aidé les Alsaciens il y a 70 ans. Et on ne cesse de constater à quel point ces Normands continuent, aujourd’hui, à soutenir, et comprendre, les Alsaciens. Le ruban entourant la gerbe offerte par l’OPMNAM et l’ADEIF (Association des déserteurs, évadés et incorporés de force), déposée sur la tombe du Malgré-Nous inconnu de Breteuil, porte ces mots : « L’Alsace reconnaissante à la Normandie ».


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  • Le mont Sainte-Odile (Odilienberg) est un mont vosgien, situé à Ottrott dans le département du Bas-Rhin, culminant à 764 mètres d'altitude. Il est surmonté par l'abbaye de Hohenbourg, couvent qui surplombe la plaine d'Alsace, fondé vers 700 par sainte Odile, patronne de l'Alsace, fille du duc d'Etichon. 

    Haut lieu de la culture alsacienne, ce couvent est un site de pèlerinage très fréquenté (1 300 000 visiteurs par an). Par temps clair, la vue s'étend jusqu'à la Forêt-Noire. Il s'y trouve aussi les vestiges d'une muraille ancienne, "le mur païen" (au programme demain).

    La vue depuis la chambre. 

    La chapelle des Anges.

    A droite la chapelle des Larmes, à gauche la chapelle des Anges.

    Depuis le 5 juillet 1931, semaine après semaine, des groupes d’hommes et de femmes venant de divers doyennés d’Alsace se relaient pour assurer, de jour comme de nuit, l’adoration devant le Très-Saint Sacrement de l’eucharistie (les 2 personnes derrière l'autel).

    En 8 minutes, juste avant le dîner, une descente vers la source miraculeuse.

    Et là, il faut remonter...

    Depuis la table, un splendide spectacle.

     

    7 h 30

     

     

     Encore quelques instants avant l'arrivée des touristes et des pèlerins. 

     


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  • Lorsque tous les touristes et pèlerins sont repartis, seule une poignée d'entre-eux passe la nuit là-haut, sous le regard de sainte Odile. L'agitation a disparu et le silence gagne les lieux, c'est le meilleur moment de la journée.  


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  • circuit autotour roumanie

    Jour 1 mardi :route pour Zurich. Vol LX1884 départ 12h10  pour Bucarest. Arrivée 15h25.
    Prise de la voiture.

    Le circuit roumain

    Route et installation à l'hôtel à Bucarest à l'hôtel ibis Bucuresti Palatul Parlamentului 82-84, Izvor St, sector 5

    Jour 2 mercredi : départ pour Sighisoara  4h29 / 286 km

    Arrêt 1 à Prejmer (2h56 / 182km) pour visiter l’église fortifiée

    Arrêt 2 : Commune de Bunesti

    Arrêt 3 : village de Viscri

    Arrivée à Sighişoara, lieu de naissance de Vlad l’empaleur, mieux connu sous le nom du Comte Dracula. Installation à l'hôtel et découverte de la citadelle médiévale avec ses rues, ses musées et son parfum d’autrefois.

    Nuit à Sighisoara à l'hôtel Sighisoara Str Scolii 4-6

    Jour 3 jeudi : SITES UNESCO, TRESORS MÉDIEVAUX (256 km)
    Sites villageois avec églises fortifiées de Transylvanie (1993)(voir circuit page 259)

    Visite de l'église fortifiée de Biertan.  

    Poursuite vers Sibiu, l’une de plus anciennes villes de Transylvanie fondée par les colons Saxons (anciennement Hermannstadt). Visite à pied de la ville médiévale pour admirer la Grande Place, la Petite Place, l’église Evangélique, le Pont des Menteurs, etc…

    Retour et nuit à Sighisoara à l'hôtel Sighisoara Str Scolii 4-6

    Jour 4  vendredi : vers Sighetu Marmatiei 4h50 / 274 km

    Route par la vallée de Mara à la découverte de l’une de plus authentiques régions du pays : le Maramures, aux villages préservés avec de belles églises en bois et aux portails sculptés.  

    ·

     ·L'église de la Présentation à la Vierge au Temple, 1720, Bârsana

    Installation à l'hôtel

    Nuit à Sighethu Marmatiei au Motel Buti Simion Barnutiu nr 10

    Jour 5 : MARAMURES, LE PAYS DU BOIS

    Route vers le Cimetière Joyeux de Sapanta (20km) près de la frontière avec l’Ukraine.

    ·         Ensemble « Églises en bois de Maramureş »  

    Arrêt à L'église de sainte Parascève, 1770, Desești

    ·         L'église Saint-Nicolas, 1643, Budești (Maramureș)

    ·          L'église des saints Archanges, 1796-8, Plopiș (un peu loin 40 mn, 40 km)

    ·         L'église de sainte Parascève, 1604, Poienile Izei

    ·         L'église de la Nativité et de la Vierge, xviiie siècle, Ieud

    ·         L'église des saints Archanges, 1663, Rogoz (un peu trop loin)

    Nuit à Sighethu Marmatiei au Motel Buti Simion Barnutiu nr 10

     

    Jour 6 : route vers Gura Humorului 5h28 / 283 km 

     

    2/ Church of the Assumption of the Virgin of the former Monastery of Humor

    1/ Church of St George of the former Voronet Monastery, ‘‘le Joyaux de Bucovine’’ connu pour la prédominance de bleue dans ses fresques, ainsi que pour sa célèbre Scène du Jugement Dernier

     Church of St Nicholas and the Catholicon of the Monastery of Probota

     Church of St George of Suceava

     

    Nuit à la pension La Roata Str. Wurzburg 21F à Gura Humorului

    Jour 7 : MONASTERES PEINTS DE BUCOVINE

     

     

    3/ Church of the Annunciation of the Monastery of Moldovita

    4/ Carte d'Eglise de la résurrection du monastère de Suceviţa  véritable forteresse au milieu des collines verdoyantes.

     

    8/ Dragomirna

    Route et nuit à Bacau à l'hôtel Bohemia Str. Gh. Donici nr 2 bis

     

     

    Jour 8 : route vers Bucarest 3h43 / 297 km. Décollage à 16h

     Total : 1 900 km

     

     


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  •  Depuis Ajaccio, ce circuit fait environ 800 km. L'hébergement se trouvait près de Figari.

    Après les Ford, Chrysler, Chery, Opel et d'autres, ce sera une Peugeot pour ce séjour, avec la tête de maure. Bon pour la rendre à Europcar il faudra passer le jet d'eau...


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  • Une petite semaine à la découverte du sud de la Corse, entre Bonifacio et Porto-Vecchio, juste le temps d'admirer (et de pratiquer) ses plages, de goûter à la charcuterie, de voir églises romanes et mégalithes anthropomorphes; enfin de partager de bons moments avec Ange-Marie, Don Jacques et Thérèse.

    Le cimetière marin à Bonifacio.

    Direction Carbini dans l'Alta Rocca pour admirer l'église romane du XIe siècle et goûter l'eau fraîche de la source d'Orone. Un petit tour du côté de palombaggia, la plage de Porto-Vecchio.

     Juste à côté de Figari se trouve Ogliastrello, un petit village de 20 habitants où nous passerons une délicieuse semaine. Entre la plage, les chênes liège et la montagne, le décor est magnifique.

       

    filitosa corse schnoebelen

     

    cuscionu corse schnoebelen

    Après les longueurs d'un hiver interminable, un petit tour en Corse s'imposait. Quelques sorties autour d'Ajaccio : d'abord à Filitosa puis direction la montagne, du côté de Cuscionu en passant par Ste Lucie de Tallano...Les incontournables calanques ou calanches de Piana...

    montagne corse cucuruzzu schnoebelen  

    Ce jour là, un timide soleil luisait sur la côte,  un peu plus haut du côté de Cuscionu, un coup de grésil et le brouillard attendaient les touristes trop téméraires quand en milieu d'après-midi, un méchant crachin breton versaient sur les mégalithes de Cucuruzzu. Après ça,retour vers Ajaccio quand durant quelques minutes les aiguilles de Bavella se découvraient magnifiques...

    montagne corse cucuruzzu schnoebelen

     


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  •  

    Dim.

    Route vers Rapallo. Installation à l'hôtel. Visite de Rapallo.

    6 heures de route / 540 km / 

     Hotel Primo Sole  Via Fioria103 Rapallo, 16035, Italie

    Vue depuis la terrasse

     

    Lundi 

    Visite de Santa Margherita et Portofino.

     

     

     

    Mardi 

    Visite des Cinque Terre. Portovenere, Cinque Terre et les îles (Palmaria, Tino et Tinetto)(UNESCO). Ce territoire côtier ligurien qui s'étend des Cinque Terre à Portovenere est un paysage culturel de grande valeur panoramique et culturelle. La forme et la disposition des petites villes et le modèle du paysage environnant, surmontant les désavantages d'un terrain escarpé et irrégulier, marquent les jalons d'une occupation humaine continue dans cette région au cours du dernier millénaire.

     

     

     

    Mercredi

    Route à travers la campagne toscane jusqu’à Pise, patrie de Galilée. Piazza del Duomo à Pise. La Piazza del Duomo réunit sur une vaste pelouse un ensemble monumental célèbre dans le monde entier. Il s'agit de quatre chefs-d'œuvre de l'architecture médiévale qui exercèrent une grande influence sur les arts monumentaux en Italie du XIe au XIVe siècle : la cathédrale, le baptistère, le campanile (ou « Tour penchée ») et le cimetière (UNESCO). 

    Route vers Florence.

    Jardin de Boboli

    Nuit à l’hôtel.

    Hôtel Classic Hotel Viale Machiavelli, 25

    Florence

     

     

    Jeudi

    Florence (UNESCO) brille encore de tous ses feux dans l'industrieuse Toscane du troisième millénaire. Elle ne s'est jamais véritablement endormie. Des générations de marchands et de banquiers l'enrichirent de somptueux palais, jusqu'à ce que les princes la consacrent maîtresse de la nouvelle pensée. Alors, le berceau de l'Humanisme devint le chantier où se côtoyèrent les plus grands sculpteurs, peintres et architectes du temps, qui dans un art tout aussi érudit que charmant, l'anoblirent des plus grandes œuvres de l'Europe. Ce matin, la Piazza della Signoria, véritable musée en plein air, dont les œuvres signées des plus grands noms de Florence : Donatello, Benvenuto Cellini et Michel Ange, trahissent, cependant, une exaltation du pouvoir politique. L'après-midi, la cathédrale. Le baptistère, d'origine romane, demeure célèbre par ses portes de bronze historiées, figurant à elles seules parmi les chefs-d'œuvre de la Renaissance. Le Duomo, centre de la puissance de la Florence médiévale, est l'un des plus vastes édifices du monde chrétien. Le campanile quant à lui, fut dessiné par Giotto au XIVe siècle ; c'est à lui que l'on doit cette parure de marbre.  

     

     

    Vendredi

    Après le petit déjeuner, départ pour la ville médiévale de Sienne qui a su conserver tout son charme d’antan.Le Centre historique de Sienne (UNESCO) est l'incarnation de la ville médiévale. Transposant sur le plan urbain leur rivalité avec Florence, ses habitants ont poursuivi à travers le temps un rêve gothique et ont su conserver à leur ville l'aspect acquis entre le XIIe et le XVe siècle. À cette époque, Duccio, les frères Lorenzetti et Simone Martini traçaient les voies de l'art italien et, plus largement, européen. La ville entière, construite autour de la Piazza del Campo, a été conçue comme une œuvre d'art intégrée au paysage environnant. La Piazza del Campo, une des plus belles places du monde renommée pour le célèbre “Palio”, une course de chevaux qui opposent les quartiers de la ville. Découverte de la cathédrale de Sienne, appelé communément le Dôme. De nombreux chefs d’œuvres décorent le sanctuaire, dont des sculptures de Michel- Ange. Puis visite de l’église de San Domenico qui recèle de magnifiques tableaux. Nuit à hôtel à Florence 

     

    L’après-midi visite de San Gimignano (UNESCO) au cœur de la campagne toscane. La ville de San Gimignano delle belle Torri est située en Toscane, à 56 km au sud de Florence. C'était un important point de relais pour les pèlerins qui se rendaient à Rome ou en revenaient par la Via Francigena. Les familles nobles qui contrôlaient la ville avaient bâti quelque 72 maisons-tours (jusqu'à 50 m de hauteur), symboles de leurs richesses et de leur pouvoir. Il ne reste que 14 de ces tours mais San Gimignano a conservé son ambiance et son apparence féodales. La ville recèle également des chefs-d'œuvre de l'art italien des XIVe et XVe siècles. Ce village étrusque du 13e siècle est niché sur une colline qui surplombe le val d’Elsa.La Piazza della Cisterna et Piazza del Duomo.

     

     

     

    Samedi

    Villas et jardins des Médicis en Toscane. (au choix)(UNESCO). Ces douze villas et deux jardins, disséminés dans le paysage toscan, témoignent de l’influence exercée par les Médicis sur la culture européenne moderne par le biais de leurs mécénats. Réalisés en harmonie avec la nature entre le 15e et le 17e siècle, villas et jardins représentent un système original de constructions dédiées aux loisirs, aux arts et à la connaissance. Les villas innovent par leur forme et leur fonction, créant un nouveau genre d’habitation princière à la campagne, totalement différent des fermes possédées à l’époque par tous les riches Florentins mais aussi des châteaux, emblèmes des puissances seigneuriales. Premier exemple de la connexion entre l'architecture, les jardins et l’environnement, les villas représentent une référence constante pour tous les ensembles italiens et européens analogues de résidences princières. Leurs jardins et leur intégration dans l’environnement naturel ont contribué à l’émergence d’une sensibilité esthétique au paysage caractéristique de l’Humanisme et de la Renaissance (Villa de Cafaggiolo, Villa de Il Trebbio,  Villa de Careggi, Villa Medici de Fiesole, Villa de Castello , Villa de Poggio a Caiano, Villa de la Petraia, Jardin de Boboli, Villa de Cerreto Guidi, Palais de Seravezza, Jardin de Pratolino, Villa La Magia, Villa de Artimino, Villa du Poggio Imperiale)

     

     

    Dimanche 

    Route de retour

     

     

     

     

     

     


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  • grece meteores schnoebelen

    Nouveau pays, nouvelle voiture, nouvelles découvertes. Arrivés à Thessalonique, le circuit démarre par les Météores. « Météore » signifie suspendu dans le ciel. Dans un paysage de pitons de grès presque inaccessibles, des moines anachorètes s'installèrent sur les « colonnes du ciel » dès le XIe siècle.  Les communautés orthodoxes de 24 monastères s'y établirent, constituant le deuxième site religieux de Grèce après le mont Athos. A cette époque les monastères n’étaient accessibles ni par des sentiers ni par des escaliers, seuls des filets tendus, des pieux enfoncés dans la roche et des cordes permettaient d’y accéder. Chaque monastère était autonome et essayait de vivre de ses propres ressources. Depuis des sentiers et des escaliers ont été taillés dans la falaise. Alors partons pour deux d'entre-eux : le Varlaam et le Grand Météore. 

    Un paysage spectaculaire, magnifique, inoubliable....

    Seconde étape : Delphes. Découverte de Delphes et son sanctuaire dédié à Apollon. Ce haut lieu mystique a été, depuis le VIe siècle av JC, le symbole de l’unité du monde grec. Les pèlerins venaient en grand nombre y consulter la Pythie, qui rendait ses oracles assise sur un trépied, dans une salle souterraine du temple. hosios lukas

    Sur la route d'Athènes, un arrêt au monastère Hossios Louckas réputé pour ses mosaïques à fond d'or.

    acropole schnoebelen 

    Deux jours dans la capitale : visites de l'acropole, de l'agora, du musée de la céramique... puis flânerie au Plaka, le quartier jouxtant le célèbre site.

    Il est temps à présent de quitter le continent et de prendre la direction du sud avec un arrêt au canal de Corinthe. 

    Départ pour le Péloponnèse avec un premier arrêt à Epidaure, célèbre haut-lieu de la médecine et réputé pour l'acoustique de son théâtre. Puis ce sera Tolo et Tirynthe.

     route Grèce

    Au bord des routes de nombreuses chapelles indiquent le lieu d'un accident. On dépose un ''proskynitario'' sorte de lanternes ou d'ex-voto, constitué d'une icône éclairée par une veilleuse et de différents objets de piété ou d'autres objets plus personnels. Ceci dit les routes grecques sont en bon état, larges et sûres; seules les villes ont des ruelles rendues très étroites par un stationnement anarchique. La courtoisie n'est pas de rigueur, on s'arrête n'importe où, quitte à gêner la circulation. Cependant, en roulant, on laisse passer les conducteurs plus pressés, en circulant sur le bas côté. On ne klaxonne guère. On ne met pas son casque... Au final, parcourir 2000 km ne pose guère de soucis.  

     olympie schnoebelen grece

    Traversée d'est en ouest du Péloponnèse pour rejoindre  Olympie. Ce serait vraisemblablement au VIIIe siècle avant notre ère que les jeux furent institués, par Iphitos, roi de Pisa, et Lycurgue, législateur de Sparte. Les peuples grecs se rencontraient à cette occasion pour des compétitions sportives, tous les quatre ans, et donnant lieu à une trêve sacrée d'un mois. En ce mois début mai, le site est magnifique. Une petite envie de fouler le stade...

    Retour vers le nord, direction Corfou avec un arrêt à Preveza.

    Corfou et ses jolies criques; oursins et friture garantis.

    mythologie

    Mythologie par ici ....

     


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  • Cette exposition temporaire est consacrée à un objet de la vie quotidienne protégeant depuis des millénaires la plante des pieds des hommes, des femmes et des enfants: la chaussure.

     

     

    Photos de MMS

    En collaboration avec le Northampton Museum and Art Gallery en Angleterre, qui dispose de la plus importante collection de souliers historiques au monde, ce voyage nous emmène à travers la mode de la chaussure de ces 3000 dernières années par l’intermédiaire de plus de 220 paires de modèles originaux. En plus de sa fonction de protection et de son aspect mode très important pour de nombreux utilisateurs, la chaussure a de tout temps eu à voir avec le statut social et le sentiment d’appartenance à un groupe. Dans l’Égypte ancienne, seuls les pharaons avaient le droit de porter des sandales en feuilles d’or ou d’argent. La plus ancienne chaussure de l’exposition provient d’Égypte et date approximativement de l’an 1000 av. J.-C.

    Au centre de l'exposition de chaussures, on trouve des œuvres de création originales... celles que l'on voit ici...

     

     

    Vidéo (en bleu) dans l'escarpin.

     

     

     


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    Capo greco 1 en décembre           Capo greco 2             Paphos 1

    Les églises byzantines   Paphos 2

    Capo greco en février        Le Troodos en février  


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