• Wadi Rum

    Après Pétra, direction le sud, en suivant la King Highway.

     Deux jours plus tôt, la route était bloquée par la neige.

     Arrivée au campement en plein désert, inaccessible en auto de tourisme.

     Confortable quand même; eau (froide) et électricité avec le groupe électro à certaines heures.

    Le camp est vide, pas un seul touriste !

     C'est parti pour plusieurs heures dans le désert, jusqu'au coucher du soleil en fait.

    La Zone protégée du Wadi Rum est reconnue mondialement comme un paysage de désert emblématique, célèbre pour ses séries spectaculaires de montagnes de grès et de vallées, d'arches naturelles et de gorges étroites, de falaises surplombant le tout, d'éboulis massifs et de cavernes spectaculaires façonnées par le climat.

    Premier arrêt. 

    La présence de dessins, d'inscriptions gravées et de vestiges archéologiques témoigne de 120 siècles d'occupation humaine. Plus de 25 000 pétroglyphes et de 20 000 inscriptions permettent de retracer les débuts de l'écriture alphabétique et l'évolution de la pensée de l'homme, de ses activités pastorales, agricoles et urbaines dans la région.

    Sur le plan géologique, le Wadi Rum est une vallée (un wadi ou oued) creusée par l'érosion d'un cours d'eau endoréique dans les rochers de grès et de granit du sud-ouest de la Jordanie.

    La vallée a été le lieu de tournage de nombreux films ; pour des scènes de désert ou pour les paysages martiens de films de science-fiction.

    • Laurence d'Arabie, 1962
    • Planète rouge, 2000
    • Passion in the Desert, 1998
    • Transformers 2, pour figurer l'Égypte
    • Prometheus, figurant la planète des Aliens
    • The Last Days on Mars, 2013
    • Seul sur Mars, 2015 pour figurer la surface de Mars

    Deuxième arrêt, grimpette sur une dune rose.

    Parmi les éléments clés des valeurs esthétiques du bien figurent la diversité et l'ampleur des formes de relief, ainsi que la mosaïque de couleurs, les perspectives sur des canyons étroits et de très larges oueds et l'échelle des falaises dans le bien.

    La maison de Lawrence d’Arabie. Cette bâtisse en ruine accueillit le célèbre aventurier en 1917. Il n’en reste qu’un pan de mur. Pour autant, le site offre un joli point de vue sur les montagnes des environs.
    Ce nom est celui d’un héros pour beaucoup d’Anglais. Envoyé par les Britanniques pour aider les Arabes à se révolter contre les Ottomans pendant la Première Guerre mondiale, cet officier fit des étincelles. Il accompagna l’armée de l’émir Fayçal, apprit à monter le dromadaire, s’habilla en tenue traditionnelle…

    Arrêt "escalade" sur l'arche Um Fruth, petite arche de 20 mètres de hauteur.

    Nouvel arrêt : passage d'un petit canyon étroit.

    Arrêt "dromadaire" et "plante savon".

    Arrêt "champignon".

    Arrêt 'traces" en attendant la bonne heure.

    Arrêt "boutique".

    Dernier arrêt.

    17 heures 20, c'est l'heure du coucher de soleil...

     

     

    18 heures, le dîner avant l’extinction des feux...

    Petit dèj, après une froide nuit malgré les 5 couvertures et le bonnet et tout et tout...

     Et maintenant retour vers le nord, Amman, par la longue Highway. Juste un petit crochet vers Qusair Amra.

     

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  • Commentaires

    2
    Samedi 25 Février 2017 à 18:46

    Un peu comme tes parcs américains...

    1
    MS
    Samedi 25 Février 2017 à 18:16

    Sympaaaa
    Et la Kings Highway a décidemment l'air vraiment magnifique biggrin

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