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    Après un bon petit déjeuner, nous reprenons la route vers Saint Gall, la grimpette continue  mais comme nous sommes frais, cela ne pose pas de souci.

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     Le paysage est enchanteur et il faut mettre pied à terre de temps en temps pour en profiter.saint gall velo bodensee lac constance wolfhalden

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     Après une magnifique descente et encore quelques montées, nous arrivons dans cette cité, véritable bijou. saint gall velo bodensee lac constance wolfhalden

    Nous posons nos vélos près de la bibliothèque et faisons le tour de la place à pied.

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    Après la cathédrale, nous entrons dans la fameuse bibliothèquesaint gall velo bodensee lac constance wolfhalden schnoebelen
    Nous enfilons de grosses savates par-dessus nos chaussures et entrons dans une des plus belles et des plus anciennes bibliothèques au monde, fondée au VIIIe siècle et reconstruite en style baroque rococo au XVIIIe siècle. L'ensemble de l'abbaye est inscrit au patrimoine mondial depuis 1983 à titre d'exemple parfait de grand monastère carolingien du St Empire romain germanique. Il faudra enfiler de gros schlopa pour déambuler dans cette magnifique salle.

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     Après un petit en-cas, la pente nous ramène à grande allure à Rorschach au bord du lac pour la visite de la Würth Haus Rorschach.saint gall velo bodensee lac constance wolfhalden schnoebelen musee wurth

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    Des dizaines d’œuvres parsèment les abords de l'entreprise.

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    Une exposition est consacrée à notre Tomi Ungerer et l'autre "De la tête aux pieds".

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    Ensuite, la piste, presque plane nous entraîne vers Constance. Les Suisses, en grand nombre, profitent de cette belle journée des plages et des pelouses au bord du lac, tout ça dans un calme et une ambiance bon enfant. 

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    Après une dernière frontière, nous arrivons à Constance et traversons une dernière fois la passerelle. Là aussi les habitants prennent le soleil et se baignent.

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    Fin du périple. Nous retrouvons la voiture garée dans les faubourgs et entrons dans les bouchons de la circulation. Direction l'Alsace...

     


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  •  Pour ce 3e jour, le soleil a décidé d'être de la partie. Nous descendons rapidement de Bermatingen et rejoignons la côte, à Friedrichshafen. Un magnifique pont couvert style antique nous fait traverser une petite rivière. 

    Proche de "l'embarcadère", les zeppelin nous accompagnent et leurs ombres nous poursuivent et nous doublent. Si votre CB est d'accord, vous pourrez vous offrir un petit tour...Chaque ville à sa fontaine, son oeuvre d'art; celles d'Uberlingen et de Constance font la part belle à la dérision, la déraison...

     

    A quoi tu penses ? 

     Sur le port, la medienhaus am see k42 (pour karlstraBe 42) imaginé par les architectes Braunger & Wörtz. En 2005, ils ont choisi le caillou du lac comme modèle pour une petite salle de spectacle. Depuis, le caillou ou Kiesel est le point de mire au port.Les magnifiques villas anciennes en bois peint alternent avec de beaux paquebots blancs.

     

    C'est là qu'habite monsieur Hulot ?Nous arrivons à Lindau.

     

    La ville est pleine de monde, le port et les terrasses débordent.

    Mais un petit tour en ville s'impose.Notre second pont couvert (j'adore)

    Et voici la markthalle d'Altenrhein. Un lieu coloré et magique planté dans cette zone artisanale entre des entrepôts et l’aérodrome. 

    Après 90km nous croyons bien en un mirage mais non, nous sommes bien chez Hundertwasser nous confirme la gentille hôtesse de l'accueil. 

    Après cette belle visite, il ne reste qu'une petite dizaine de km pour atteindre Wolfhalden. Soirée paisible en perspective. 


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  • Jour 1 : Le voyage s'est fait sans encombre, cette fois la route empruntée passe par Fribourg (en Brisgau, Allemagne); celle passant par la Suisse comporte des sections en travaux (et donc des ralentissements, toujours importants dans ce pays). Mais en Allemagne des travaux, avec vitesse limitée, émaillent aussi le parcours.

    Nous déposons la voiture dans les faubourgs de Constance, glissons le porte-vélos dans le coffre et partons aussitôt vers Stein am Rhein. Bien que suivant les bords du lac inférieur (untersee), le plus petit, il faut néanmoins emprunter à plusieurs reprises, la route (ce qui n'est jamais très agréable). Sinon la piste est bitumée et plus rarement, en sable et gravier. Avec une météo un peu capricieuse, il ne sera pas possible de visiter Reichenau en fin de journée.

    La petite ville de Stein am Rhein a été construite à l'endroit où le lac de Constance se rétrécit pour former le Rhin. Elle est connue pour sa vieille ville bien conservée avec de superbes maisons à colombages et à façades peintes, qui lui ont valu de recevoir le tout premier prix Wakker en 1972 (prix décerné par le patrimoine suisse). Nous effectuerons le retour sur Constance par le même chemin.

    Nous visiterons rapidement le port et le centre ville en arrivant puis passerons à l'hôtel avant de chercher une table sur les bords du lac pour dîner.

    Du 6 au 7 Hôtel Petershof  St.-Gebhard-Strasse 14, Petershausen-West, Constance, 78467, Allemagne - Téléphone : +497531993399

     

    Jour 2 : Le lendemain, le parcours est en site propre  la plupart du temps, toujours sur le bitume, avec 2 belles montées. Le fléchage est satisfaisant, il ne sera pas nécessaire de consulter le GPS. De nombreuses visites sont prévues ce jour-là. Le couchage s'effectue à Bermatingen faute de meilleur choix sur la côte.

    Du 7 au 8 Hotel Buchberg Garni Adresse: Buchbergstrasse 13, 88697 Bermatingen, Allemagne Téléphone : +49 7544 9519580 Coordonnées GPS : N 047° 43.680, E 09° 21.263

    L'étape du jour 3 est la plus longue, une centaine de km avec une arrivée très difficile, en pente (il faudra mettre pied à terre, pour moi du moins)(dénivelé de 300m non stop, pente 8%). Mais l'effort est largement récompensée par la vue magnifique là haut à Wolfhalden).

     


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  • La journée 2 affiche également 65 km; plusieurs arrêts visites sont prévus, comme ici à la magnifique église de Birnau.

    Tout de suite après, le musée des palaffites. 


    La pluie se décide enfin à s'arrêter pour la visite d'Uberlingen.

    Arrivés à Bermatingen quand une dernière averse nous cueille avant le dîner avec nos habits secs !


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  • Une fois la voiture déposée dans les faubourgs de Constance, nous enfourchons nos bicyclettes pour filer vers Stein. Le temps est couvert, pas de problème de surchauffe ! 

    Une ondée nous attend avant la belle cité; peu importe, on ira prendre un chocolat chaud (un vrai) et croquer un morceau sur la belle place en faisant sécher les maillots. 

    En sortant, le soleil se dégage, le temps de faire ou refaire quelques photos. 

     

    Il reste à faire demi tour car la boucle fait tout de même 62 km (un bon début !)(3 heures effectives de cyclo pour une moyenne de 20 km/h)(cette partie est assez plate, ce qui ne sera pas le cas les jours à venir...)

    Arrivés en Ecosse à Constance, un petit coup d’œil sur le port. Imperia est toujours là.

    La vue sur le lac est bien réduite ce soir ! Pour apercevoir Nessie dans le lac ce sera difficile !

    Et puis après la douche, le ciel est dégagé; nous pouvons dîner sur les bords du Rhin au Constanzer Wirtshaus.


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  •  tour lac constance vélo 

    Pour ce second tour du lac de Constance, c'est moi qui vais servir de guide pour une grande sportive, Marie ! Le circuit est à peine différent du 1er (merci Rem !) mais je rajouterai St Gall en Suisse (pour voir la fameuse bibliothèque).

    tour lac constance vélo stein am rhein On démarre donc par Stein am Rhein le 1er jour.

    tour lac constance vélo 

    Nous poursuivons le lendemain jusqu'à Uberlingen, Birnau (et sa magnifique église baroque), le musée des Palafittes (cité lacustre du néolithique et âge du bronze) puis Meersburg pour arriver à Bermatingen.

    tour lac constance vélo  L'église de Birnau au sommet de la colline sous un crachin vivifiant et utile à la vigne, sans doute.

    tour lac constance vélo lindau bregenz 
    Mais après la pluie…

    tour lac constance vélo bregenz altenrhein hundertwasser
    La 3e journée démarre par Friedrichshafen (petit coup d'œil sur son port et ses Zeppelin), Lindau (la petite île et ses magnifiques demeures) , Bregenz (passage à l'opéra de plein air) et Altenrhein (et sa markthalle signée Hundertwasser) pour finir à Wolfhalden, là-haut dans les alpages.

    tour lac constance vélo bregenz saint gall 

    La 4e journée commence avec de jolies pentes jusqu'à Saint Gall . Le circuit revient au bord du lac, à Rorschach (et sa fondation Würth) puis le périple reprend à bon rythme jusqu'à Constance en se faufilant entre les magnifiques villas suisses et paisibles plages verdoyantes.


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  • Après une séance d'accrobranche à Sondernach, il est temps de prendre l'air au Hohrodberg. 

    Suite des photos, ici.

     

     


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  • Lien vers le journal L'Alsace ici

    MALGRÉ-NOUS : Incorporé de force deux jours avant la libération de Strasbourg

    Il y a 78 ans, le 25 août 1942, était publié le décret instaurant l’incorporation de force pour les Alsaciens. Né dans la vallée de la Bruche en novembre 1928, Florent Holveck fut l’un des derniers Malgré-Nous : quand il est parti pour le RAD puis la Wehrmacht, il n’avait pas encore 16 ans.
    Par Hervé de CHALENDAR - 

    Quand la Seconde guerre a été déclarée, il n’avait que 10 ans ; ceci ne l’empêchera pas de se retrouver sur le front russe… Florent Holveck est né il y a 92 ans, le 28 novembre 1928, à Wackenbach, un hameau de Schirmeck, où il vit toujours. À partir de la rentrée 1940, alors que le camp de redressement de Schirmeck se met en place à quelques centaines de mètres de chez lui, ce petit Welche découvre la langue allemande dans une école où chaque journée commence par un « Heil Hitler ! » le bras levé. En 1942, il commence un apprentissage pour devenir menuisier. Et à la fin de l’année 1944, il doit partir pour le RAD, le Reichsarbeitsdienst , cette formation militaire qui servait de prélude à la Wehrmacht.

    « Ich schwöre… nicht ! »

    Le départ est programmé pour le 21 novembre 1944. Soit une semaine avant ses 16 ans, et, surtout, deux et quatre jours avant, respectivement, les libérations de Strasbourg et de Schirmeck… « Depuis des mois, on entendait le canon à l’Ouest, mais le front ne bougeait pas, raconte aujourd’hui Florent Holveck. On en a parlé avec mon cousin Christophe, qui devait partir avec moi : si l’arrivée des libérateurs traînait encore, nos parents risquaient d’être expulsés. Il y avait eu un cas au village… Les miens étaient âgés, mon père avait fait 14-18 côté allemand. C’était un cas de conscience. Et puis ce n’était encore que le RAD, pas la Wehrmacht… » On pourrait croire que partir à la guerre quand celle-ci se termine est un moindre mal ; le parcours de Florent, qu’il a mis par écrit en 1999 à destination de ses petits-enfants, raconte l’inverse.

    Le 21 novembre, donc, les cousins prennent le train à Saverne avec quelque 200 Bas-Rhinois des classes 27 et 28. Deux jours plus tard, ils arrivent dans un camp à Arneburg, près de Magdebourg, sur les bords de l’Elbe. Le travail de Florent consiste à retaper un camp voisin. « Bien sûr qu’on a appris que Strasbourg était libéré ! Un copain a reçu un colis avec du chocolat américain, qu’on a partagé… »

    Quatre mois plus tard, le 11 mars 1945, alors que le dernier coin d’Alsace encore occupé (le nord du Bas-Rhin) s’apprête à être libéré, Florent est officiellement versé dans la Wehrmacht, sans transition avec le RAD. Lors de la prestation de serment, après la phrase « Ich schwöre » (« Je jure »), il rajoute tout bas la négation « nicht »… « Après, il y a eu le moment du chant. Mais il y a eu un decrescendo et le chant s’est arrêté en plein milieu, dans un silence. Nous n’étions que des Alsaciens… »

    Fusillés devant leurs camarades

    Deux semaines plus tard, ces gamins sont envoyés sur le front de l’Est, à Drehnow, sur la ligne Oder-Neisse. Le dimanche 8 avril, deux jeunes de La Broque, Edmond Krantz (classe 28) et Léon Oechsel (classe 27), tentent une évasion ; ils sont repris le mercredi et fusillés le vendredi matin. Tous leurs camarades alsaciens doivent assister à la scène. À 9 h, dans une carrière de sable, les condamnés à mort de 16 et 17 ans sont ligotés à des piquets. « Je baissais la tête…, se souvient Florent. Je l’ai relevée quand j’ai entendu les détonations. Un officier a sorti son revolver et est allé donner le coup de grâce à chacun d’eux. Au RAD, Krantz avait son lit à côté du mien… Quand vous voyez ça à 16 ans… » Des plaques leur rendent hommage, aujourd’hui, dans le cimetière de La Broque. Il se raconte qu’à la même période une trentaine d’Alsaciens ont voulu se rendre aux Russes, et qu’ils ont été abattus à la fois par les Russes et par les Allemands : « Mais ça, je l’ai entendu, je ne l’ai pas vu… »

    « Redevenir des êtres humains »

    Les enfants d’Alsace sont désormais au cœur de l’enfer, en première ligne face à l’offensive russe. Ils traversent un paysage d’apocalypse. Aux horreurs de la guerre (déluge de feu, morts en pagaille, maladies) s’ajoutent les drames des civils : Berlin en flammes, les maisons pillées, les colonnes de réfugiés… « J’ai même vu un chameau tirer une voiture ! »

    À plusieurs reprises, par miracle, les cousins survivent à des pluies de projectiles. Une vingtaine d’années plus tard, lors d’une visite de la médecine du travail, un de leurs copains aura la surprise d’apprendre qu’une balle russe était toujours fichée dans son côté… Des prisonniers français proposent à Florent et Christophe de leur donner des habits et de les garder avec eux ; ils n’osent pas : le souvenir d’Edmond et de Léon est encore trop frais.

    Le 28 avril 1945, soit une dizaine de jours avant la capitulation allemande, ils sont faits prisonniers par les Russes à Halbe, au sud de Berlin. Le début de la fin ? Pas vraiment… Ils sont envoyés vers l’Est, sur « des routes pleines de sang », et pas seulement au sens figuré. Ils vont de camp de prisonniers en camp de prisonniers, et ceux-ci sont situés toujours plus loin : en Pologne, en Ukraine, en Russie…

    Cette fois, c’est surtout la maladie qui menace l’adolescent. Il leur arrive de dormir dans des champs, sans abri, comme des bêtes. Florent arrive à Tambov le 16 septembre. Le temps de faire connaissance avec les rats (« Ils grimpaient sur nous la nuit ») et il en repart le 26. Cette fois, la fin est vraiment en vue. Pendant le retour, en train, Florent commence à se requinquer. « Nous nous sentions redevenir des êtres humains… »

    Il est à Paris le 24 octobre et à Strasbourg dès le lendemain. Il prend aussitôt un train pour la vallée de la Bruche. Quand il arrive à Wackenbach, sa mère vient de recevoir un télégramme annonçant son « retour imminent ». On pleure, on défaille, on saute de joie… Et on s’inquiète aussitôt pour Christophe, le cousin, qui n’est pas avec Florent ; il rentrera dix jours tard. « Je ne tenais pas en place : je n’arrivais pas à réaliser que j’étais de retour à la maison ! » En partant de Tambov, Florent pesait moins de 40 kilos. Quand il reprend le travail, le 2 janvier 1946, il en pèse 70. Il vient d’avoir 17 ans. Sa vie peut commencer.

     

    Lien vers le journal l'ALSACE

    SECONDE GUERRE MONDIALE[Vidéo] Marcel, ancien Waffen SS, incorporé de force

    Originaire de Saint-Pierre-Bois dans le Bas-Rhin, Marcel a été incorporé de force dans l'armée allemande en février 1944. Ses deux plus grands frères également.

    Né en 1926, il a été versé dans la Waffen SS comme quelque 4000 Alsaciens et Mosellans de sa classe d'âge. Dans son malheur, Marcel a eu de la chance. Il n'a pas tiré une seule balle de février à septembre 44, date à laquelle il a été fait prisonnier en Belgique. Il a ensuite intégré l'armée française et a terminé la guerre en Allemagne. Notre portrait, à lire dans l'édition de ce jour.

    Marcel: "Avant le Déparquement, certains Allemands savaient que la guerre serait perdue". (Photo DNA L. Habersetzer)
    Marcel: "Peut-être que l'esprit, là-haut, m'a aidé". (Photo DNA L. Habersetzer)
    Nicole et Jean Bézard, en train de ramasser de la terre d'Alsace dans le jardin de Marcel. (Photo DNA L. Habersetzer)
    Nicole et Jean Bézard, en train de ramasser de la terre d'Alsace dans le jardin de Marcel. (Photo DNA L. Habersetzer)
     
    Marcel: "Peut-être que l'esprit, là-haut, m'a aidé". (Photo DNA L. Habersetzer) 

     

    Marcel, chez lui à Triembach

    Membres fondateurs de la SNIFAM (association de Solidarité Normande avec les incorporés de force alsaciens et mosellans), Nicole et Jean Bézard se battent depuis de longues années pour mieux faire connaître le sort tragique des incorporés de force dont plusieurs centaines ont combattu en Normandie. Certains ont pu s'échapper et rejoindre les troupes alliées.

    Quand les Bézard récupèrent la terre alsacienne pour l'emener en Normandie


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