• pemuteran bali schnoebelen 

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    Première halte sur Bali : Pemuteran. Parc magnifique, zen, zen...

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    Alors que les Javanais sont musulmans, 93% des 3 890 000 Balinais sont hindouistes. La pratique est présente au quotidien, simplement, discrètement : des offrandes devant chaque maison, devant chaque commerce...
    Ce mois de juillet était propice aux crémations nous explique le chauffeur. Il nous arrête à une cérémonie.

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    Le corps de chaque Balinais décédé doit être brûlé lors d'une grande cérémonie de crémation afin que son âme puisse accéder aux mondes des esprits.
    Ces cérémonies sont très onéreuses, aussi sont elles souvent collectives, plusieurs familles d'un même village se regroupent alors pour organiser une crémation qui ouvrira les portes de l'autre monde à parfois plus de 20 âmes. Dans ce cas là, les défunts sont enterrés dans un cimetière en attendant le jour de la crémation où ils sont alors extraits de leurs tombes, cette attente peut parfois durer plusieurs années.

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    Contrairement à l’enterrement, la crémation est une fête où tout le monde est très joyeux puisque l’âme du défunt peut enfin continuer son voyage vers le ciel pour être réincarnée.

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    A Bali les bébés naissent sur les scooters peut-être....           direction l'embarcadère...

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    Ce n’est que 12 jours après la crémation qu’a lieu la purification finale parce qu’elle aussi coûte assez chère et demande pas mal de préparatifs.Lors de cette cérémonie, les cendres du défunt sont placées dans un linge blanc et jaune et transporté au bord de la mer (et si la mer est trop loin le long d’une rivière qui finira par les amener au large) lors de la crémation, l’âme du défunt est purifiée par le feu ce qui lui permet de partir ou ciel (ou la vie est similaire à celle de Bali sans les problèmes et les maladies), mais le fait de mettre les cendres dans l’eau permet de libérer l’âme complètement de manière à ce qu’elle puisse entrer dans la phase de réincarnation.

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  • banjar bali schnoebelen

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    Un cadre enchanteur et verdoyant sert d'écrin à ces sources chaudes, aménagées en 3 piscines, dont la troisième, la plus chaude, affiche 38°C. Des têtes de nagas (dragons) crachent l'eau d'une piscine à l'autre ; une chute de 3 m, dans le dernier bassin, permet un agréable massage... À consommer sans modération...

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    L’eau des sources aurait des vertus médicinales notamment pour les maladies de la peau, grâce au souffre qu’elle contient.

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    Unique lieu Bouddhique de Bali situé en pleine nature  sur une colline au Sud Ouest de Lovina non loin des sources d'eaux chaudes sulfureuses de  Banjar. Ce temple est plus connu sous le nom  de "Temple Bouddhiste de Banjar  ". Il n'a pas la stature de Borobodur toutefois il y règne une atmosphère très sereine ... C'est avant tout un temple, un monastère où l'on aperçoit  des moines en prière. C'est un lieu calme loin de l'agitation touristique.

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  • sanur bali schnoebelen

     Sanur est une charmante station balnéaire qui a connu son heure de gloire dans les années 1960 avec l'ouverture du premier établissement haut de gamme de l'île en 1966.

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  • bromo java schnoebelen  

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    Situé au pied du mont Bromo, Tosari est le point de départ pour l'ascension du volcan Bromo qui culmine à 2392 mètres. C'est un village d'agriculteurs et depuis peu de chauffeurs pour touristes...Les montagnards du massif du Tengger (environ 300 000) sont disséminés dans une quarantaine de villages aux petites maisons très colorées. Leur religion est un syncrétisme de bouddhisme, d’hindouisme et d’animisme. Au XIVème siècle, ils ont fui l’arrivée de l’Islam et se sont réfugiés dans les montagnes. Aujourd'hui, la situation semble bouleversée, la prière des mosquées est omniprésente en cette période de ramadan (de 16 heures à 23 heures et  tant pis pour ceux qui se lèvent à  3 heures du matin).

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    Retour des champs avec la cargaison de patates.

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    Lever à 3 du matin et direction le sommet en face du Bromo; la température est autour de 6°.

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    Le parc national de Bromo Tengger Semeru est situé dans l'est de l'île de Java en Indonésie. Il est constitué d'une région montagneuse dont le point culminant est le mont Semeru à 3 676 m, le plus haut sommet de Java. Le massif du Tengger et le mont Bromo font partie du parc. On y trouve aussi 4 lacs : Ranu Pani, Ranu Regulo, Ranu Kumbolo et Ranu Darungan, et une cinquantaine de rivières.

    Des espèces menacées sont protégées dans le parc, comme des fagaceae, des moraceae, sterculiaceae, Casuarina junghuhniana, Anaphalis longifolia et quelque 200 espèces endémiques d'orchidées.

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    Après ce premier spectacle, les 4x4 prennent la direction de la caldeira baignée de brume, lieu de départ pour l'ascension du volcan dont une partie peut être réalisée sur de petits chevaux.

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    Non, ce n'est pas le concessionnaire Toyota du coin, juste quelques touristes.

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    Station essence, modèle très répandu sur les deux îles.

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    Départ pour les champs. Poinsettias géants au bord des routes, c'est Noël !

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  • Splendeurs Javanaises / Authenticités Balinaises /  AUTO TOUR

     19 nuits / 19 jours

    Arrivée à Denpasar 6 JUILLET 2013 vers 23h30  vol KE633 Korean Airlines

    Jour 1 (6 JUILLET 2013) : ARRIVEE DENPASAR 23H30  

     Arrivée à Denpasar. Hôtel La taverna, Danau Tamblingan Street 29, Bali, 80228 Sanur

     Jours 2 3 4 5 (7 8 9 10 JUILLET 2013): SANUR

     Jour 6 (11  JUILLET 2013): SANUR – YOGYAKARTA - BOROBUDUR

     Transfert à l’aéroport pour le vol vers Yogyakarta Vol Air Asia QZ7871 6h00 – 6h00

     Arrivée à l’aéroport International de Yogyakarta.

    Départ vers le temple bouddhique de Borobudur. Temple datant du VIIIème siècle et situé à 40 km de Yogyakarta. C’est le plus grand temple du monde à neuf niveaux, dont six niveaux carrés surmontés de trois terrasses circulaires, symbolisent l’ascension au nirvâna, c’est-à-dire l’état d’illumination du Bouddha. Le site a été sauvegardé grâce à l’Unesco qui y a effectué de 1973 à 1983 des travaux de restauration évitant les infiltrations d’eau qui auraient mis en péril l’édifice. Borobudur a une grande valeur en tant que patrimoine universel et c’est un haut lieu de pèlerinage de l’Asie du sud-est. Vous accéderez aux différents niveaux sculptés de bas-reliefs qui décrivent la vie du Bouddha et ses différentes réincarnations, matière inépuisable à la méditation, et au fur et à mesure que vous parviendrez au sommet, vous remarquerez que les décors disparaissent progressivement pour laisser place au dépouillement le plus complet et rejoindre ainsi le nirvâna, l’absolu. Visite des temples de Pawon et de Candi Mendut où se trouve un bouddha assis de 3 mètres de haut. Retour à Yogyakarta. 
    Hôtel RUMAH PALAGAN  

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    Jour 7 (12 JUILLET 2013) : YOGYAKARTA - PRAMBANAN

    L’hindouisme a laissé des traces prestigieuses dans la plaine de Prambanan à une dizaine de kilomètres de Yogyakarta. Vous y visiterez les temples des IX et Xème siècles dédiés aux dieux suprêmes hindous : Brahma, Vishnou et Shiva. Dans l’après-midi, découverte du Candi Sewu antérieur à Loro Jonggran (à environ à 1km). Vous pourrez également visiter le Candi Plaosan qui se trouve à 2km du complexe central et celui de Kalasan à hauteur du km 14 pour terminer par le Candi Sambisari qui a été entièrement restauré.

     

    Jour 8 (13 JUILLET 2013) : JOGYAKARTA - BROMO

    Train (classe Exekutif 6 heures trajet) à destination de Surabaya. Sancaka (Morning): 07h15 - 12h13

    Déjeuner à bord du train à prévoir ou acheter dans le train. Puis départ vers le massif du Bromo. Arrivée à Tosari, petit village au pied du mont Bromo culminant à 2 392 mètres d’altitude. Les montagnards du massif du Tengger (environ 300 000) sont disséminés dans une quarantaine de villages aux petites maisons très colorées. Leur religion est un syncrétisme de bouddhisme, d’hindouisme et d’animisme. Au XIVème siècle, ils ont fui l’arrivée de l’Islam et se sont réfugiés dans les montagnes. Nuit à l’hôtel Lava View Lodge au Bromo 

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     Jour 9 (14 JUILLET 2013): BROMO – IJEN

    Départ matinal en jeep pour admirer le lever de soleil sur Pananjakan, un des panoramas les plus spectaculaires au monde (point culminant de la caldeira à 2770 m d’altitude). Matinée d’excursion au Mont Bromo qui s’élève au milieu d’une mer de sable de 10km hérissée de cônes volcaniques et qui est le cratère d’un volcan éteint beaucoup plus vaste, le Tengger. Le Mont Bromo sera certainement le moment fort de votre circuit à Java et les amateurs de randonnées à pied ou aventuriers s’en donneront à cœur joie. Approche du cratère Bromo selon possibilité

    Nuit à l’hôtel Ketapang Indah  

     Jour 10 (15  JUILLET 2013) : IJEN -  PEMUTERAN

     Tôt le matin, départ en 4x4 jusqu’au pied du volcan Kawah Ijen à travers des plantations de café et la forêt équatoriale. Ascension à pied vers le sommet (1h30 environ). Panorama époustouflant du lac turquoise et de ses fumerolles de soufre. Vous rencontrerez les porteurs de soufre avec leurs charges de 80 kilos en moyenne sur le dos descendant le sentier, spectacle d’un autre temps.

     

    Le Kawah Ijen, également orthographié Kawah Idjen en français, est un volcan d'Indonésie situé dans l'est de l'île de Java, faisant partie du volcan Ijen. Son nom signifie « cratère vert » en javanais. Son cratère sommital contient une solfatare d'où est extrait du minerai de soufre ; il abrite un lac acide réputé pour être le plus acide de la planète.

    La particularité du Kawah Ijen est la présence d'une solfatare sur le flanc interne sud-est du cratère, à proximité du rivage du lac et produisant de grandes quantité de soufre. Les vapeurs, dont la composition chimique est caractéristique des volcans de subduction, sont émises à une température d'environ 200°C et sont principalement composées de dioxyde de soufre, de sulfure d'hydrogène et de vapeur d'eau ainsi que d'acide chlorhydrique bien qu'en moindre proportion ce qui leurs donnent une teinte jaunâtre. Sortant de terre à l'état gazeux, le soufre se refroidi et passe à l'état liquide avant de se cristalliser rapidement en formant des concrétions dont la couleur va du jaune canari à l'orangé. Exploité par des habitants de la caldeira de l'Ijen, la production de ce minerai de soufre est optimisée avec la canalisation des vapeurs ce qui permet une cristallisation plus rapide et plus abondante.

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    Dans l’après-midi, Départ vers le port de Ketapang pour prendre le ferry et traverser le détroit de Bali et débarquer à Gilimanuk. Continuation vers Pemuteran.

    Nuit au Adi Assri

    Jour 11 (16 JUILLET 2013) : PEMUTERAN – SNORKLING Transfert à l’embarcadère de Labuhan Lalang. Transfert en bateau jusqu'a l’île de Menjangan qui reste l’un des plus beaux sites de plongée de Bali. Journée sur place pour effectuer des plongées en apnée.

    Jour 12 (17 JUILLET 2013): PEMUTERAN – MUNDUK

     Route vers le village de Banjar, réputé pour ses sources d’eau chaude. Découverte de l’unique monastère bouddhiste de l’île, qui offre un magnifique point de vue sur les rizières en terrasse, la vallée et la mer. Continuation vers la région de Munduk, la montagne de girofliers, véritable paradis pour les randonneurs. 

    Nuit au Puri Lumbung  

     Jour 13 (18 JUILLET 2013): MUNDUK

     Continuation pour la région de Bedugul. Visite du temple Pura Ulun Danu, qui se reflète dans les eaux calmes du lac Bratan et qui est dédié à Dewi Danu, la déesse des eaux. Découverte à flanc de montagne des splendides rizières de Jatiluwih. Balade (d’une à deux heures) sur les sentiers de traverses empruntés par les Balinais qui travaillent dans les rizières Découverte de la complexité des systèmes d’irrigation et des techniques ancestrales de la culture de riz, la céréale nourricière de l’île. Route retour vers Munduk. Visite en route du temple de Batukaruh.

     Jour 14  (19 JUILLET 2013): MUNDUK -  AMED

     Départ pour la région de Amed. Route par la cote nord de Bali puis la route pittoresque de Suter et arrêt en route a Kintamani village de Montagne surplombant le lac Batur. Visite du temple de Besakih, temple mère de Bali et le plus  grand  temple de l’ile, dominé par le volcan Agung (3140m, considéré par les balinais comme étant le nombril du monde). Construit au 8eme siècle au pied du Mont Agung par Markandaya. Aujourd’hui, Besakih comprend 22 sanctuaires, constitués de 298 constructions sacrées. Continuation par Bebandem et Selat et arrivée sur Amed, village de pêcheurs. Installation à l’hôtel. 

    Nuit à l’hôtel Hidden Paradise -

    Jour 15 (20 JUILLET 2013): AMED – SNORKELING  à Amed

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    Jour 16 (21 JUILLET 2013): AMED – UBUD

     Départ vers la région de Sidemen pour vous permettre de découvrir un Bali insolite  et insoupçonné, une véritable immersion au cœur de l’île, rizières en terrasse et temples de dentelles sur fond de volcan sacré, plages désertes, coraux étincelants et surtout les sourires des balinais, véritables bijoux eux seuls. Visite du palais aquatique de Tirta Ganga. Arrêt dans la région d’Abang et panorama sur les plus beaux paysages de rizières de l’île. Marche dans la région de Tenganan et visite du village des Bali Aga, les balinais d’origine. Puis visite de l’ancienne capitale de l’île, Klungkung et son palais de justice.,  Continuation pour Ubud Installation à l’hôtel.

    Nuit au Champlung Sari  

    Jour 17 (22 JUILLET 2013) : UBUD

    Découverte des ateliers d’artisanat où se perpétuent les arts traditionnels de la culture balinaise. Le village de Celuk est spécialisé dans le travail de l’argent et de l’or et le village de Mas réputé pour la sculpture sur bois. Découverte du temple Tirta Empul dont la source est la plus sacrée de l’île de Bali. Chaque année, des milliers de pèlerins viennent se purifier dans une eau aux pouvoirs spirituels et magiques. Déjeuner. Découverte de la petite ville de Tampaksiring et visite du Gunung Kawi, le plus beau et un des plus anciens monuments de l’île.

    Il présente des niches rocheuses de 7m de haut qui abritent d’impressionnants monuments commémoratifs remontant au XIème siècle. Continuation pour la visite du temple hindou Goa Gaja, creusé dans la roche et surnommé la grotte de l’éléphant. Visite de l’exceptionnelle galerie de peinture de M. Agung Rai. Spectacle de danses balinaises. Découverte à votre gré du marché de nuit. Nuit à l’hôtel. 

     Jour 18 (23 JUILLET 2013): UBUD

     Journée libre pour profiter à votre rythme de cette charmante ville d’Ubud et des nombreuses galeries d’artistes. Vous pourrez également vous rendre à pied dans la forêt des singes…lieu où se mélangent temples sacrés nichés dans un écrin de nature et forêt luxuriantes, lieu de vie des singes.

     

    Jour 19 and day 20 (24 / 25 JUILLET 2013) : UBUD – SANUR DEPARTURE 25 JULY @1.20 am.
     Hôtel La taverna, Danau Tamblingan Street 29, Bali, 80228 Sanur

    Départ de Denpasar le 25 JUILLET 2013 KE 630 Korean Airlines  à 1h20

     

     

     


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  • tirta empul bali schnoebelen

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    Le temple Tirta Empul près d'Ubud fut construit en 926 sous la dynastie des Warmadwa; il est très important pour les Balinais car il abrite des bains alimentés par une source sacrée. En effet la légende veut que l'armée de Indra a été ressuscitée avant d'aller battre le Maya Danawa. 

    tirta empul bali schnoebelenChaque année des milliers de pélerins viennent se purifier dans une eau aux pouvoirs spirituels et magiques.

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    Ce jour là, le nombre des pélerins est important, c'est jour de pleine lune, un jour de chance, il y a beaucoup d'effervescence, de joie; les jeunes et les vieux se pressent dans les bassins et passent sous les différents jets qui ont chacun un pouvoir différent.

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  • indonesie schnoebelen 

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    Voici les photos de ce joli circuit en Indonésie, elles ne sont pas classées dans l'ordre chronologique.. 

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     On commence par le temple de Tirta Empul,    le Bromo,     Sanur,    Banjar,      Pemuteran,    le Kawah Ijen,     Borobudur, Bedugul,      Goa gaja,          Klungkung ... et le reste suivra...

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  • Gabon Cent ans après, l’héritage fragile du Docteur Schweitzer

    << Lien vers le journal l'Alsace >>

    L'héritage fragile du docteur Schweitzer

    Le mythique hôpital de Lambaréné, au bord de l’Ogooué. Photo AFP

    Le mythique hôpital de Lambaréné, au bord de l’Ogooué. Photo AFP

    Le Gabon célèbre le centenaire de l’arrivée d’Albert Schweitzer à Lambaréné, au cœur de la forêt équatoriale, où le pasteur-médecin alsacien fonda un hôpital qui peine aujourd’hui à survivre, même si plusieurs milliers de patients y sont toujours soignés chaque année.

     

    C’est sur les rives du fleuve Ogooué envahies par les moustiques que Schweitzer débarqua en pirogue avec son épouse en 1913, dans ce qui était alors l’un des territoires les plus sauvages de l’empire colonial français, à 250 km de Libreville. L’héritage – controversé – du « grand blanc de Lambaréné » ne se résume pas à l’apport de la médecine moderne. Si certains critiquent aujourd’hui son attitude autoritaire et paternaliste envers ceux qu’il appelait les « indigènes » , il reste un symbole au Gabon – et à l’étranger, notamment dans les pays anglo-saxons – pour son abnégation couronnée par le prix Nobel de la paix en 1952.

    Quelque 20 000 patients affluent encore chaque année des différentes régions du Gabon pour se faire soigner à l’hôpital Schweitzer, à quelques dizaines de mètres des vieux bâtiments où le docteur a exercé pendant plus de 50 ans. « C’est une fierté de diriger cet hôpital , affirme avec entrain son directeur général, Antoine Nziengui. Nous sommes parmi les seuls au monde à avoir une telle structure à la fois médicale, de recherche et humanitaire. »

    Après avoir installé son premier dispensaire dans un vieux poulailler en tôle cédé par la mission protestante de Lambaréné, le docteur avait fondé, au fil des ans, un véritable « hôpital-village » où il vécut jusqu’à sa mort en 1965. En témoignent aujourd’hui les coquettes maisonnées en bois qui accueillent encore une partie des personnels soignants avec leurs familles, dans l’enceinte même de l’hôpital. À quelques pas, il avait aussi créé une léproserie, toujours en activité même s’il ne reste que 17 malades.

    « Conserver l’éthique du respect de la vie »

    « On a voulu conserver l’éthique du respect de la vie, si chère au docteur. Même les moustiques, il ne fallait pas les tuer ! », s’amuse Sylvia Nyoundou, qui guide les visiteurs dans l’ancienne maison – transformée en musée quelque peu poussiéreux – où vivait Schweitzer, dont la tombe fait face au fleuve. On y trouve ses affaires, ses correspondances et notamment de nombreuses bibles en allemand – il était né en Alsace alors allemande et il n’obtiendra la nationalité française qu’après la défaite de l’Allemagne lors de la Première Guerre mondiale –, mais aussi un orgue sur lequel il s’exerçait tous les jours et préparait ses concerts pour récolter des fonds en Europe.

    Si le Gabon a formulé une demande à l’Unesco pour que le site soit classé au Patrimoine mondial de l’humanité, certains se demandent aujourd’hui ce que va devenir l’hôpital niché dans la verdure, dont les bâtiments sont aujourd’hui décrépis et les équipements vétustes. Les dons récoltés à la Fondation Schweitzer et la subvention annuelle de l’État gabonais – près d’un milliard de Francs CFA (1,5 million d’euros) –, ne suffisent plus à assurer son fonctionnement. Il n’y a pas de scanner. Et le service de pédiatrie dispose de seulement quatre couveuses qui « ne fonctionnent pas vraiment » malgré un taux de natalité important, de l’aveu du directeur. « Si on veut regarder l’avenir, l’hôpital devrait fonctionner comme une entreprise. Ici on soigne les patients même s’ils n’ont pas de quoi payer. C’est bien de faire du social, mais c’est aussi ce qui nous coûte cher aujourd’hui… » , affirme le Dr Nziengui.

    Un hommage national les 6 et 7 juillet

    À l’autre bout de la ville, un hôpital flambant neuf équipé selon les standards internationaux a vu le jour en 2009, le président Ali Bongo Ondimba ayant affiché la volonté de faire de Lambaréné un pôle médical d’envergure pour que l’héritage Schweitzer « continue à rayonner ». Les autorités devraient également inaugurer d’ici la fin de l’année un nouveau centre hospitalier universitaire international Albert Schweitzer, doté d’un « centre de recherche médicale de pointe » sur les maladies tropicales, a déclaré le président à l’approche du centenaire.

    « Le vieil hôpital c’est notre patrimoine et c’est ici que les Gabonais veulent se faire soigner , regrette une infirmière qui a souhaité garder l’anonymat. Je ne comprends pas pourquoi on ne l’a pas modernisé plutôt que d’en créer un autre. »

    Les 6 et 7 juillet, Lambaréné accueillera des dizaines personnalités du monde de la science et de la médecine, des chefs d’États et des humanitaires venus rendre hommage au Dr Schweitzer. Un symposium scientifique international sera également consacré aux trois grandes épidémies qui affectent l’Afrique : le paludisme, la tuberculose et le VIH/sida.


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    Rénovation en août 2013

     

     

     

     


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  • ronchamp le corbusier schnoebelen Second passage à Ronchamp (les photos sont de juin 13 et de février 16)

     ronchamp le corbusier schnoebelen

    La chapelle Notre-Dame-du-Haut est une chapelle construite de 1950 à 1955 sur la colline de Bourlémont à Ronchamp en Haute-Saône, dans la région française de Franche-Comté. C'est une création de l'architecte franco-suisse Le Corbusier. Elle est érigée à l'emplacement d'un ancien sanctuaire romain et d'une ancienne chapelle reconstruite une première fois dans l’entre-deux-guerres. 

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    La demande de classement des œuvres de l'architecte Le Corbusier (1887-1965) au patrimoine mondial de l'Unesco a subi un nouveau revers (juin 2013). 

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    Le 25 juin 1955, jour de l’inauguration, Le Corbusier remet la chapelle à l’Archevêque de Besançon, Monseigneur Dubois, en lui précisant : « Excellence, en bâtissant cette chapelle, j’ai voulu créer un lieu de silence, de prière, de paix, de joie intérieure. Le sentiment du sacré anima notre effort. Des choses sont sacrées, d’autres ne le sont pas, qu’elles soient religieuses ou non. Nos ouvriers et Bona, le contremaître, Maisonnier de mon atelier, 35, rue de Sèvres ; les ingénieurs et les calculateurs, d’autres ouvriers et des entreprises, des administrateurs, Savina, ont été les réalisateurs de cette œuvre difficile, minutieuse, rude, forte dans les moyens mis en œuvre, mais sensible, mais animée d’une mathématique totale créatrice de l’espace indicible.
    Quelques signes dispersés, et quelques mots écrits, disent la louange à la Vierge. La croix – la croix vraie du supplice – est installée dans cette arche ; le drame chrétien a désormais pris possession du lieu. Excellence, je vous remets cette chapelle de béton loyal, pétrie de témérité peut-être, de courage certainement, avec l’espoir qu’elle trouvera en vous comme en ceux qui monteront sur la colline, un écho à ce que nous y avons inscrit. »

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    Empreinte de coquillage dans une des portes.

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    << Le site de la Fondation Le Corbusier >>

    << L'Association propriétaire du site, l'AONDH >>

    Le monastère Sainte Claire conçu par Renzo Piano.
     


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  • éguisheim schnoebelen alsace

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    éguisheim schnoebelen alsace St Léon IX : Bruno d'Eguisheim est né à Eguisheim. Fils du comte Hugues IV et de Heilwige, fille du comte de Dagsbourg-Dabo. Ses parents construisirent deux abbayes: à Woffenheim (Ste Croix en Plaine), à l'Oelenberg (Reiningue) et vers 1029, le château du Wahlenbourg aux Drei-Exen. Bruno est Evêque de Toul à l'âge de 24 ans. Il sera Evêque "réformateur" dans une époque troublée où la féodalité et ses luttes se multiplient partout. Il est élu Pape le 2 février 1049, sous le nom de Léon IX.
    Léon IX institua la Trêve de Dieu en 1050, convoqua un Concile au Latran en 1049 et 1051. Il fut surtout un Pape Voyageur, présidant des Synodes, oeuvrant pour la paix en Europe. Gardé prisonnier durant 9 mois, il tomba malade en février 1054. Léon IX meurt à Rome le 19 avril 1054.

    "Durant les 5 années de ce pontificat, Rome redevient le lieu où bat le coeur du monde"

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    Le marché de Noël de Mulhouse   

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    Le vieux bûcheron soigne sa petite forêt...
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    ronchamp le corbusier schnoebelen 

    Une promenade à Eguisheim ? ou plutôt sur la colline du Bourlémont pour admirer la belle chapelle de Notre Dame du Haut de Ronchamp ?

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    Dans les Vosges : au Gaschney / Hohneck ou aux 3 châteaux de Ribeauvillé ?

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  • ribeauvillé sortie aux 3 châteaux schnoebelen

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    On démarre la promenade dans le bas du bourg, on traverse la Grand-Rue, colorée, fleurie, avec ses maisons à colombages, ses cigognes... alsacienne en somme...
    Ribeau ne ressemble pas à Eguisheim (le village préféré des Français en 2013) (je suis en train de mettre les photos) (Eguisheim a des ruelles étroites et pavées à l'ancienne).. mais bon, Ribeau mérite un détour....sa situation est nettement mieux...

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    ribeauvillé sortie aux 3 châteaux schnoebelen

    Après les dernières maisons, le sentier gravit le vignoble puis pénètre dans le sous-bois. On jette un dernier coup d'oeil sur le bourg et la plaine.

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     Dès les premiers pas dans la Grand-Rue, on aperçoit, la silhouette du St Ulrich. Une seule envie alors, gravir le plus rapidement possible pour arriver au but...
    Est-ce que j'ai déjà dit que c'est mon château préféré ? Bon il y a aussi le Fleckenstein mais c'est un peu plus loin et il n'a pas ces belles fenêtres géminées.

    Le château Saint-Ulrich (alt. 530 m) est le plus imposant et le mieux conservé des trois châteaux de Ribeauvillé. Appelé aussi Rappolstein, Gross Rappolstein, ou encore Ukrichsburg, il fut bâti vers le milieu du XIIIe siècle sur un éperon rocheux surplombant la vallée du Strengbach et reçu des agrandissements successifs, dont le plus remarquable consista dans l'adjonction d'une aile de proportions grandioses, composée de deux immenses salles disposées l'une sur l'autre et éclairées du côté du Levant par une double rangée de 7 fenêtres géminées de plein cintre. Si le St-Ulrich n’a que peu de caractère militaire, c’est un bel exemple d’habitat seigneurial. Résidence des Ribeaupierre jusqu'au XVe siècle, il est l'une des plus belles réalisations de l'art profane en Alsace.

    ribeauvillé sortie aux 3 châteaux schnoebelenA l'ombre du Girsberg. Le nom actuel du site de St Ulrich est dû à la chapelle dédiée à ce saint qui se trouve dans le château. Les textes médiévaux, quant à eux, ne font nullement usage du nom actuel : le château portait le nom de la lignée des Rappolstein (ou Ribeaupierre, dans la forme francisée).

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    C'est bien cette belle façade qui fait le charme de ces ruines... sa situation aussi...

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    C'est un château d'une très belle architecture militaire du Moyen Age qui comprenait un donjon érigé au XIIe siècle et un logis avec cheminée du XIIe siècle. Au XIIIe siècle la salle des chevaliers fut décorée de 9 belles fenêtres de style roman que l'on peut encore apercevoir. Vers 1435, fut érigé la chapelle consacrée à Saint-Ulrich évêque d'Augsbourg. La famille des Ribeaupierre, quitta ce château au XVIe siècle pour un château de style Renaissance (l'actuel lycée de Ribeauvillé). Par la suite, le château fut démantelé durant la Guerre de Trente Ans.

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    ribeauvillé sortie aux 3 châteaux schnoebelen

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    La légende de la flèche mortelle : deux frères, de la famille des Ribeaupierre, l’un habitant le château de Saint-Ulrich, l’autre le Girsberg, étaient censés chasser ensemble le lendemain. Ils avaient convenu d’un signal : le premier levé éveillerait l’autre en envoyant une flèche sur son volet. Le frère habitant le château de Saint-Ulrich s’éveilla le premier. Il tira donc une flèche en direction du volet de son frère. Mais ce dernier, au moment même où le trait arrivait, ouvrit le volet : il mourut, le cœur transpercé

    ribeauvillé sortie aux 3 châteaux schnoebelen 

     

    Les sœurs de la Divine Providence. Voir aussi un article de l'Alsace (octobre 19), et un diaporama de l'Alsace

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    Retour et nouveau passage dans la Grand-rue. La Grand'Rue, à demi piétonne, traverse la ville. ribeauvillé sortie aux 3 châteaux schnoebelenSes maisons anciennes à colombage sont de belle facture. Aux entrées Sud et Est de la ville, deux tours sont surmontées de nids de cigognes. Remarquez le Pfifferhüs (restaurant) dont la porte est surmontée d'une représentation de l'Annonciation, la halle au blé, une fontaine en grès rouge et jaune de 1536 avec un lion héraldique, la Tour des Bouchers ainsi que la place de la Sinne.

    ribeauvillé balade aux 3 trois châteaux

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  • << Hors série : ORADOUR APRES ORADOUR >> lien vers France 3

    Deux jours avant la commémoration du massacre d’Oradour et à un an du soixante-dixième anniversaire, France 3 propose ce numéro hors-série de "La voix est libre"

    • Par Loïc Laubriat
    • Publié le 03/06/2013 | 11:33
    Oradour sur Glane (Limousin) Entrée du village martyr brûlé par une division SS le 10 juin 1944 © © Denis Adam De Villiers
    © © Denis Adam De Villiers Oradour sur Glane (Limousin) Entrée du village martyr brûlé par une division SS le 10 juin 1944
     Une émission spéciale enregistrée depuis le Centre de la Mémoire, à la fois site de mémoire mais aussi outil pédagogique qui travaille à une réflexion universelle sur la paix.

    La mémoire collective retient l’atrocité de la barbarie nazie incarnée par une unité de la 2e division SS Das Reich, qui a déferlé sur ce tranquille village limousin le 10 juin 1944 et a fait 642 victimes, mais elle s’est délestée au fil des années des accents les plus polémiques qui ont marqué l’après Oradour.

    Cette émission présentée par Géraldine Dreyer, journaliste à France 3 Alsace et par Louis Roussel, journaliste à France 3 Limousin, propose de donner la parole à plusieurs invités qui évoqueront et s’exprimeront autour de différents volets qui alimentent toujours et régulièrement le débat : l’histoire, la mémoire, la suite de l’action judiciaire, la transmission et le devenir des ruines.


    Parmi les invités sur le plateau :

    • Annick Morizio, Présidente du Centre de la Mémoire,
    • Raymond Frugier, Maire d’Oradour,
    • Douglas Hawes, historien américain, dont le livre "Oradour" vient d’être réédité,
    • Marie-Claire Vitoux, historienne de l’Université de Haute-Alsace auteur de "Oradour depuis Oradour",
    • Christian Chartier, professeur de droit à l’université de Limoges, consultant auprès du Tribunal Pénal International dont il a été le porte-parole,
    • Peter Gottschalk, journaliste allemand, chargé de programmes Histoire sur la chaîne ARTE.

    Plusieurs sujets préparés par les différentes rédactions émailleront cette émission avec notamment :

    • la visite des ruines par une classe d’écoliers guidés par Robert Hebras, l’un des derniers survivants, qui raconte et témoigne auprès des jeunes générations,
    • la procédure ouverte par le procureur de Dortmund, dans le cadre d’une enquête judiciaire conduite par l’Allemagne,
    • le lien entre les villes de Charly en Lorraine et Oradour : en 1950, la commune mosellane a rajouté à son nom celui du village martyr, en hommage à 39 de ses habitants réfugiés qui ont péri dans le massacre,
    • la question majeure de la conservation des ruines classées "monument historique" en 1946, face au temps qui fait son œuvre,
    • la parole des survivants et des rescapés

     Dans ce reportage, vous entendrez l'historienne qui définit bien les choses, les actes et contextualise parfaitement les événements, éclaire avec un vocabulaire précis et fixe les dates avec précision.


    M.Hebras quant à lui tente d'expliquer ses écrits et de justifier la nouvelle publication de son livre (où un paragraphe met en doute l'existence des incorporés de force). Il dit que son éditeur est le seul responsable des faits; pour sa part il avait expurgé cet article dans une version précédente "par amabilité" ! Incroyable ! On rêve !

    A propos du procès de Bordeaux, même chose, il trouve que le jugement "oublie les 642 victimes" ; injuste donc ?

     Ce type n'a aucun scrupule à oublier les 130 000 incorporés de force, les 40 000 qui sont morts ou qui ont disparu... Ce ne sont pas des limousins, ce ne sont pas des gens de sa famille, de son village... négligeables ?

    Tout ce qui l'intéresse "c'est de savoir quels étaient les liens de camaraderie" au sein de la compagnie responsable des événements d'Oradour. Wouah ! on rêve encore ! Quels rapports entre ces liens et la présence d'Alsaciens dans les rangs ? Les soldats seraient allés bras- dessus, bras-dessous peut-être ? La vision personnelle, son implication, ses relations avec les événements, les personnes ne lui permettent guère de reconnaître la situation des incorporés de force... il lui faut juste des responsables, des meurtriers ....


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    Erica Schroeder, avec sa fille.

    Malgré elles

     

    « Je n’ai pas envie de me souvenir de choses désagréables. Nous les avions enfouies en nous et oubliées » , assure la Strasbourgeoise Erica Schroeder, pour couper court à toute interrogation sur les six mois passés au RAD, avant les 14 mois durant lesquels, elle a été incorporée au KHD. Sa mère, alors, vient de mourir. Mais rien n’y fait. Elle doit partir. Son père pensait la garder auprès de lui, elle se souvient encore de son regard au moment où le train quittait la gare… Au KHD, elle est affectée à l’usine chimique Bayer de Lerkusen, qui existe toujours. Mais surtout, « les Allemands ne voulaient pas nous laisser retourner à la maison pendant tout ce temps » .

    « Erica, avec un c » , précise-t-elle, lorsqu’on lui demande son prénom. La dame, âgée de 88 ans, s’appuie sur le bras de sa fille, venue l’accompagner. L’occasion, pour cette dernière, de parler avec sa mère d’un passé douloureux. Rentrée en Alsace en 1944, Erica n’a jamais évoqué ces longs mois en pays ennemi. « On s’est mariée, on a eu une famille. On se taisait… » En s’arrêtant devant des photos suspendues dans le hall, les souvenirs remontent. « Je détestais la gymnastique pendant le RAD » , s’exclame- t-elle. Il y a aussi cette photo avec les filles en uniforme, formant un cercle, le bras tendu pour le salut nazi, au moment de la levée des couleurs. Erica est émue : « Tu levais le bras mécaniquement, tu ne pensais à rien… »

     

    Germaine Rohrbach.

    Germaine Rohrbach.

     << Lien vers le journal l'Alsace >>

    Pendant plus de vingt ans, Germaine Rohrbach s’est battu auprès des ministres successifs pour l’indemnisation des incorporés de force dans les formations paramilitaires allemandes, qui étaient essentiellement des femmes. Cette reconnaissance des RAD-KHD a longtemps été refusée par la Fondation Entente franco-allemande (lire aussi en page politique), présidée jusqu’à son décès par André Bord.

    Il a fallu l’intervention d’un secrétaire d’État aux Anciens combattants alsacien, Jean-Marie Bockel, pour que 800 € soient versés aux quelque 6 000 Malgré-elles, la moitié par l’État et l’autre moitié par la Fefa. Mais, ce 22 juillet 2008, date de la signature de l’accord, marquait surtout « la reconnaissance par la France, de leurs souffrances et de l’histoire d’une région ». Cette exposition, c’est l’hommage de l’Alsace à ses anciennes.

    Le Reichsarbeitsdienst (RAD) est devenu obligatoire en Allemagne, en juin 1935, pour les hommes de 17 à 25 ans. Il fut étendu à la population féminine en septembre 1939. Par ordonnance du 8 mai 1941, le Gauleiter Wagner décide d’appeler au RAD, en Alsace-Moselle, « tous les habitants masculins et féminins entre 17 et 25 ans ». Pour les garçons, le RAD est une préparation militaire intensive de six mois, en prélude à l’incorporation dans l’armée allemande. Pour les filles, il consistait en des travaux agricoles ou d’aide au foyer. À partir de l’automne 1943, elles sont versées dans le Kriegshilfsdienst (KHD) comme auxiliaires de guerre.

     

    Les « Malgré-elles », incorporées de force dans l’Allemagne nazie

     

     

     

    Germaine Rohrbach, dans son appartement de Saverne : « Ce que j’ai vécu pendant la guerre m’a donné un caractère de chien quand il le faut ! » Photo Hervé Kielwasser

    Malgré elles

    Germaine Rohrbach, dans son appartement de Saverne : « Ce que j’ai vécu pendant la guerre m’a donné un caractère de chien quand il le faut ! » Photo Hervé Kielwasser

    << lien vers le journal l'Alsace >>

     

    Il y eut des Malgré-nous, et des « Malgré-elles » : des femmes incorporées de force, non sur le front, mais au service de l’Allemagne nazie, dans le cadre des RAD et KHD. Germaine Rohrbach, 86 ans, fut l’une d’elles. Et elle s’est longtemps battue pour leur reconnaissance.

     

    Malgré elles

     

    C’est une dame charmante, qui vit dans un petit appartement de sa ville natale, Saverne, et garde, à 86 ans, un esprit et une mémoire que peuvent lui envier bien des jeunots. Mais c’est aussi une femme indépendante, qui ne s’est jamais mariée, se grille encore volontiers quelques cigarettes et reconnaît posséder parfois un sacré carafon… « La guerre m’a changée : avant, j’étais une fille très gentille, très douce… Ce que j’ai vécu m’a donné un caractère de chien quand il le faut ! Face à une injustice ou une humiliation, je deviens une vraie tigresse… »

    Et ce fichu caractère, qu’il soit canin ou félin, ne lui a pas été inutile, pendant les vingt mois passés en Allemagne, entre 43 et 45, mais aussi après son retour, pendant ces décennies durant lesquelles Germaine, en tant que présidente de l’Association des anciens incorporés de force dans le RAD et le KHD (lire ci-dessous), a lutté pour la reconnaissance des « Malgré-elles ». Germaine se souvient notamment d’une entrevue houleuse avec un ancien préfet du Bas-Rhin : « Il m’avait traitée de menteuse ! Peu après, je l’ai retrouvé lors d’une cérémonie : j’ai refusé qu’il me salue, parce qu’il m’avait insultée. Et je l’ai dit assez fort pour que tous les officiels entendent… »

    L’incorporation de force de Germaine débute en novembre 1943. Elle a 17 ans et part effectuer son RAD à Oberkirch. « Nous étions dans un camp, à 16 par chambres. On a suivi une formation paramilitaire : on portait un uniforme kaki, on a appris à saluer, marcher, obéir, avant de prêter serment au Führer… » La journée, la lycéenne devient « fille de ferme, bonne à tout faire » dans une famille des environs. « Ces gens étaient gentils, mais effrayants de saleté… Le peigne plein de poux était posé près du beurre. La soupe était servie dans des trous creusés dans le bois de la table. Je lavais le linge dans une fontaine froide ; j’avais des engelures aux mains, mais le soir, au camp, la Führerin me mettait des onguents… »

    En février 44, elle est choisie pour travailler dans une station militaire sur un sommet de la Forêt-Noire, la Hornisgrinde. « Nous devions repérer les avions alliés par le son. Heureusement, ils n’en ont jamais abattu un seul grâce à nous… » La nourriture est meilleure et l’ambiance n’est pas mauvaise, si bien que Germaine et ses copines trouvent la force d’enquiquiner leur cheftaine, « une armoire à glace, méchante comme la gale : on frottait du fromage puant sur son plancher, on lui piquait l’ampoule de sa lampe… » Elle le paie à la première incartade. Un dimanche, elle ose mettre un chemisier rose sous son uniforme : « C’est maman qui me l’avait acheté. La cheftaine m’a demandé si j’étais folle, et j’ai répondu… »

    Huit jours plus tard, elle travaille à la chaîne, à Pforzheim, dans une usine de pièces de précision pour l’aviation. Commence alors le KHD (voir ci-dessous). « La première fois qu’on me donne du riz, il est jaune : c’étaient des vers… Je vais me plaindre au cuisinier, il m’engueule et me dit : ‘‘C’est votre ration de viande !’’ Le même plat est revenu le lendemain. Et cette fois, je l’ai mangé… »

    Par chance, une tante de Germaine possède une boulangerie dans la ville ; la jeune fille se débrouille pour y passer après l’usine, et rapporte au camp des restes de biscuits. « On partageait toujours tout, entre Allemandes et Alsaciennes. C’est aussi un trait de caractère que j’ai gardé de la guerre : je donne tout, je ne suis pas avare, je ne peux pas l’être… »

    Elle doit encore travailler dans une station météo et dans une commission de rapatriement avant de pouvoir rentrer à Saverne, très tardivement, en juillet 45. « Je suis arrivée dans ma rue vers 2 heures du matin. Les volets étaient entrouverts. Papa m’a reconnu à mon pas : il a éclairé, il est descendu… En me voyant, ma sœur s’est évanouie. Quand elle est revenue à elle, il lui a dit : ‘‘Va chercher la bouteille à la cave !’’ C’était un cru qu’il avait mis de côté exprès. Mais on l’a recraché : il était devenu imbuvable ! Alors on a fêté ça avec une bonne bouteille de vin ordinaire… »

    DÉJÀ PARUES Nos cinq pages consacrées aux Malgré-nous les 4, 11, 18 et 25 août.

     


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