• D / La Corse en 2015, en 2013

    Une petite semaine à la découverte du sud de la Corse, entre Bonifacio et Porto-Vecchio, juste le temps d'admirer (et de pratiquer) ses plages, de goûter à la charcuterie, de voir églises romanes et mégalithes anthropomorphes; enfin de partager de bons moments avec Ange-Marie, Don Jacques et Thérèse.

    Le cimetière marin à Bonifacio.

    Direction Carbini dans l'Alta Rocca pour admirer l'église romane du XIe siècle et goûter l'eau fraîche de la source d'Orone. Un petit tour du côté de palombaggia, la plage de Porto-Vecchio.

     Juste à côté de Figari se trouve Ogliastrello, un petit village de 20 habitants où nous passerons une délicieuse semaine. Entre la plage, les chênes liège et la montagne, le décor est magnifique.

       

    filitosa corse schnoebelen

     

    cuscionu corse schnoebelen

    Après les longueurs d'un hiver interminable, un petit tour en Corse s'imposait. Quelques sorties autour d'Ajaccio : d'abord à Filitosa puis direction la montagne, du côté de Cuscionu en passant par Ste Lucie de Tallano...Les incontournables calanques ou calanches de Piana...

    montagne corse cucuruzzu schnoebelen  

    Ce jour là, un timide soleil luisait sur la côte,  un peu plus haut du côté de Cuscionu, un coup de grésil et le brouillard attendaient les touristes trop téméraires quand en milieu d'après-midi, un méchant crachin breton versaient sur les mégalithes de Cucuruzzu. Après ça,retour vers Ajaccio quand durant quelques minutes les aiguilles de Bavella se découvraient magnifiques...

    montagne corse cucuruzzu schnoebelen

     

    « Le circuit toscan ligureLa corse du sud en 2015 »

  • Commentaires

    8
    Dimanche 6 Septembre 2015 à 07:37

    pierre, pierre, pierre...

    7
    JJ
    Samedi 5 Septembre 2015 à 22:47

     

    Jolis murets de pierre !

     

    Un temps clair et magnifique
    M'incite à la promenade
    Mon esprit vagabonde
    Découvrant au détour d'une sente,
    Un long muret de pierre
    S'étirant doucement
    Recouvert par endroits
    De beaux mûriers tout blanc
    Qui le protègent sans doute
    Des aléas du temps !

    Il y a bien longtemps déjà
    Qu'un paysan, brave et fier
    Construisit ce mur avec acharnement
    Plaçant là une pierre,
    Où, humble, elle fera
    Avec toutes ses compagnes
    Un vrai défi au temps.

    Il fallait bien la main de l'homme
    Pour accomplir ce bel ouvrage
    Qui protégea toutes les pâtures
    Comme on le voit dans le Morvan.

    Un peu plus loin, le mur s'éboule,
    Quelle tristesse !

    Mais déjà, comme un filet,
    Le lierre l'a recouvert et enserré
    Pour le retenir et le protéger !
    Miracle de la nature
    Dont l'homme peut être fier
    Car après cent ...ans...
    Peut-être ...mille ...ans,

    Le muret de pierres sèches
    Est là, bien là,
    Remplissant son emploi
    Faisant fi de l'air du temps
    Offrant à nos yeux
    La beauté du moment.

    Écoutez, mes Amis,
    Admirez la Nature,
    Et respectez le travail
    Des hommes courageux
    Que sont les paysans !

    Anne-Marie Spévak

     

    et deux petites merveilles de Georges Drano:

    "Le mur ne retient
    ni la lumière
    ni la nuit
    Il est le corps de l’ombre

    Il sépare ce que nous savons
    de ce que nous sommes."



    "Un mur de pierre sèches
    pour ne pas rester
    dans la crainte de tout perdre.
    Se retrouver sans bruit, à l’écart
    De l’autre côté avec ce qui manque,
    La terre, le ciel, le feu qui va reprendre."

     

     

    6
    JJ
    Lundi 31 Août 2015 à 20:29

    belle balade vers  Carbini

    et ses champs murés.....

    souvenir du passé.

    3
    JJ
    Vendredi 28 Août 2015 à 00:27

    plénitude

     


    Hè nata una stedda


    Eccu
    Eccu a fola di stu mondu addurmintatu
    Senza primura di tamanta siccaghjina
    Eccu u ciucciuddu u cantu citadinu
    È u passu piligrinu
    Eccu u valdu accantu à u chjassu
    I lacrimi è u ricordu
    Eccu l’arba è a machja
    È ancu quiddu chè vo aspitteti
    Stunatu disciarbiddatu
    È com’è sciancu è mal assicuratu

    Ventu si faci senta
    Pugnendu di carrià nutizii


    Une étoile est née


    Voici
    Voici l’histoire de ce monde assoupi
    Sans souci de cette grande sécheresse
    Voici la rumeur le chant de la ville
    Et le pas du voyageur
    Voici le bois près du chemin
    Les larmes et le souvenir
    Voici l’herbe et le maquis
    Et même celui que vous attendiez
    Effaré tête folle
    Presque boîteux avec son pas mal assuré

    Et l’on entend le vent
    Qui tente de porter nouvelles

    • Nom / Pseudo :

      E-mail (facultatif) :

      Site Web (facultatif) :

      Commentaire :


    2
    Jeudi 27 Août 2015 à 20:51

    la corse s'écrit en bleu, en turquoise de préférence mais là, le sépia, à l'aurore, était tout indiqué; mystérieux et calme.

    1
    JJ
    Jeudi 27 Août 2015 à 18:55

    si lumineux !

    plaisir

    que de gambader en  cet espace...

    pieds nus?

     

    sarcastic

     

     

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :